Ergonomie: améliorer ses performances au travail

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Quelle centre d’audioprothèse n’a pas déjà expérimenté une baisse de sa productivité ou souhaité augmenter la qualité de ses prestations, sans pour autant identifier les moyens d’y parvenir ? Améliorer l’ergonomie au travail peut permettre d’atteindre la performance souhaitée en optimisant l’intervention humaine. Explications.

Ergonomie: améliorer ses performances au travail

L’ergonomie au travail
Et si la clé du succès d’une entreprise résidait dans la mise en œuvre de solutions adaptées au fonctionnement humain et aux exigences concrètes des situations de vie et de travail ? Telle est la préconisation de l’OMS (Organisme mondiale de la santé), qui soulignait en 2011 qu’une société investissant un euro dans la santé de ses collaborateurs récupérait quatre euros en rentabilité. Mais la rentabilité n’est en aucun cas l’unique problématique. Selon le Courrier du dentiste, les chirurgiens-dentistes sont par exemple 58 % à souffrir de lombalgies, 22 % de dorsalgies et 20 % de cervicalgies. Des pathologies qui touchent des professions diverses et n’épargnent pas les audioprothésistes et leurs équipes. C’est pourquoi les professionnels sont de plus en plus nombreux à faire appel à des ergonomes dont la mission contribue au développement des cabinets pour les rendre plus performants, en prenant en compte l’humain dans son environnement de travail.

 
Diagnostic ergonomique de performance
Le travail des ergonomes consiste à articuler de concert le développement des espaces de travail et des ressources des activités des audioprothésistes, de leurs assistantes et des techniciens en audioprothèse. Si chaque situation est singulière, des éléments communs à toutes les configurations existent. Ainsi, il apparaît primordial de favoriser les appuis sur le rachis lombaire, de prendre en compte la diversité de taille des intervenants, s’ils sont droitiers ou gauchers, limiter l’impact de la distance praticien/patient, qui engendre des contraintes sur les deltoïdes et les trapèzes, favoriser une surface d’appui compatible avec des zones d’appuis multiple et l’installation du patient, et enfin, favoriser un point d’appui, qui reste fixe une fois réglé. L’objectif de cette démarche est de replacer l’être humain et sa valeur ajoutée au centre de la réflexion afin que les choix de conception retenus soient optimisés et tendent vers l’atteinte d’une performance globale, au niveau de l’entreprise.
 
Adapter ses positions et son mobilier
Une fois le diagnostic ergonomique établi, reste à mettre en œuvre les bonnes pratiques. S’il est bien sûr possible -et recommandé !- de prévenir et atténuer, via des exercices adaptés, les pathologies pouvant survenir, l’assise joue un rôle primordial. Parmi les solutions existantes, le siège Bambach en cuir véritable que commercialise la société Gammadis a révolutionné la manière de s’asseoir des bon nombre de professionnels. A titre d’exemple, après une période d’essai gratuite de 15 jours, 96 % des chirurgiens-dentistes choisissent de l’adopter définitivement. Pour ceux qui ne seraient pas complètement convaincus, Gammadis offre une solution de retour simple : un transporteur passe directement récupérer le siège au cabinet. Pour les heureux adoptants, il suffit de régler la facture envoyée au moment de la période d’essai, et de continuer de profiter du bien-être procuré par leur nouveau siège. Ce dernier a déjà été plébiscité par de nombreux professionnels : les dentistes, qui sont déjà 10 000 à l’utiliser au quotidien, mais aussi les tatoueurs. Des professions variées mais un même constat : une meilleure efficacité dans la réalisation du soin et de la prestation. 

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